Merci pour le magazine Renaissance. Il me tient centré sur le présent, tout en me rappelant le plaisir que j’ai eu à enseigner!
— Tom Molyneaux (District 14 Niagara)
J’attends avec impatience chaque numéro de Renaissance! Merci beaucoup.
— Jack Fortin (District 42 Mainland British Columbia))
J’ai reçu mon premier numéro de Renaissance par la poste aujourd’hui. L’article : « La vie après le travail : qui suis-je maintenant? » a trouvé écho chez moi, puisque je tente depuis plusieurs mois de donner un sens à ma retraite. Merci pour ces conseils pertinents afin de me permettre de reconnaître qui je suis et de réaliser que j’ai maintenant le temps d’en profiter pleinement.
— Sandy Sinden ((District 50 Atlantic)
Nous avons beaucoup aimé le dernier numéro de Renaissance, et particulièrement l’article « La vie après le travail: qui suis-je maintenant? ». Ma conjointe, qui public a enseigné pendant de dans le longues système années, fut l’une des premières à se prévaloir de l’occasion de prendre sa retraite après 35 ans d’enseignement et de toucher une rente à taux plein avant l’âge de 55 ans. Un voisin m’a encouragé à imiter Linda. Un autre ami m’a confié qu’il avait pris sa retraite parce qu’il avait l’impression d’occuper un emploi dont il pouvait se passer, au détriment d’un plus jeune enseignant qui en avait vraiment besoin. Je n’avais jamais vu les choses de cette façon, mais c’est effectivement un point important.
Nous avons décidé de liquider nos dettes, un précieux conseil obtenu lors d’un séminaire de RTOERO sur la planification de la retraite. Ma conjointe et moi avions fait des économies et investi prudemment, ce qui nous a mis à l’abri des revers financiers. Nous avons décidé de voyager. Bientôt, nous visitions toutes les provinces et tous les territoires au Canada, ainsi que chaque état américain, à l’exception d’Hawaï – puisqu’il n’y a pas de pont pour s’y rendre! Linda a aussi réalisé l’un de ses rêves, qui était d’assister aux Jeux de la Passion du Christ à Oberammergau. Ma famille a quitté l’Allemagne en 1709, de sorte que la pensée d’y aller m’intriguait. Nous avons visité l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Irlande, la Suisse et l’Autriche. Nous avons retracé, et rencontré, nos deux familles d’origine en Europe – la mienne en Allemagne et celle de Linda aux Pays-Bas.
Maintenant, nous avons atteint l’âge où notre état de santé ne nous permet plus tous ces Regrettons-nous voyages d’avoir outre-mer. Regrettons-nous d’avoir pris notre retraite pour partir ensemble à l’aventure? Pas du tout. Pas un instant. Ni l’un ni l’autre n’a détesté sa carrière. C’est simplement qu’il y a un temps pour tout.
— Don and Linda Dulmage (District 19 Hastings and Prince Edward)
Lettres des lecteurs
Comment faire n'importe quoi
Merci pour le magazine Renaissance. Il me tient centré sur le présent, tout en me rappelant le plaisir que j’ai eu à enseigner!
— Tom Molyneaux (District 14 Niagara)
J’attends avec impatience chaque numéro de Renaissance! Merci beaucoup.
— Jack Fortin (District 42 Mainland British Columbia))
J’ai reçu mon premier numéro de Renaissance par la poste aujourd’hui. L’article : « La vie après le travail : qui suis-je maintenant? » a trouvé écho chez moi, puisque je tente depuis plusieurs mois de donner un sens à ma retraite. Merci pour ces conseils pertinents afin de me permettre de reconnaître qui je suis et de réaliser que j’ai maintenant le temps d’en profiter pleinement.
— Sandy Sinden ((District 50 Atlantic)
Nous avons beaucoup aimé le dernier numéro de Renaissance, et particulièrement l’article « La vie après le travail: qui suis-je maintenant? ». Ma conjointe, qui public a enseigné pendant de dans le longues système années, fut l’une des premières à se prévaloir de l’occasion de prendre sa retraite après 35 ans d’enseignement et de toucher une rente à taux plein avant l’âge de 55 ans. Un voisin m’a encouragé à imiter Linda. Un autre ami m’a confié qu’il avait pris sa retraite parce qu’il avait l’impression d’occuper un emploi dont il pouvait se passer, au détriment d’un plus jeune enseignant qui en avait vraiment besoin. Je n’avais jamais vu les choses de cette façon, mais c’est effectivement un point important.
Nous avons décidé de liquider nos dettes, un précieux conseil obtenu lors d’un séminaire de RTOERO sur la planification de la retraite. Ma conjointe et moi avions fait des économies et investi prudemment, ce qui nous a mis à l’abri des revers financiers. Nous avons décidé de voyager. Bientôt, nous visitions toutes les provinces et tous les territoires au Canada, ainsi que chaque état américain, à l’exception d’Hawaï – puisqu’il n’y a pas de pont pour s’y rendre! Linda a aussi réalisé l’un de ses rêves, qui était d’assister aux Jeux de la Passion du Christ à Oberammergau. Ma famille a quitté l’Allemagne en 1709, de sorte que la pensée d’y aller m’intriguait. Nous avons visité l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Irlande, la Suisse et l’Autriche. Nous avons retracé, et rencontré, nos deux familles d’origine en Europe – la mienne en Allemagne et celle de Linda aux Pays-Bas.
Maintenant, nous avons atteint l’âge où notre état de santé ne nous permet plus tous ces Regrettons-nous voyages d’avoir outre-mer. Regrettons-nous d’avoir pris notre retraite pour partir ensemble à l’aventure? Pas du tout. Pas un instant. Ni l’un ni l’autre n’a détesté sa carrière. C’est simplement qu’il y a un temps pour tout.
— Don and Linda Dulmage (District 19 Hastings and Prince Edward)